Le deuxième court-métrage que je réalise avec Mias Media. Un projet qui s‘est fait dans une ambiance familiale, avec une légèreté et un plaisir du travailler ensemble qui m’a redonné le goût de la réalisation. Non pas que je l’avais perdu. 😉
« Le bon soir » part en festivals à partir de l’automne 2017.
Une zone industrielle en friche engloutie sous la brume hivernale. Le mur d’un cimetière devenu un lieu de passage pour les êtres égarées. Parmi les âmes errantes qui déambulent sur le mur : un jeune homme ayant élu domicile dans sa voiture et une jeune fille ayant pour projet de se suicider…
Extraits des films La maison de Nina (Richard Dembo), L’arche de Babel (Philippe Carrese), Rien dans les poches (Marion Vernoux), L’armée du crime (Robert Guediguian) et parisk! (François Barge-Prieur/Jeremias Nussbaum).
Vous êtes sur le site de l’acteur, réalisateur et scénariste Jeremias Nussbaum.
J’y présente mon travail, mes projets créatifs et je partage quelques petites anecdotes de mon parcours artistique dès mes débuts jusqu’à aujourd’hui. Vous voulez juste savoir ce que j’ai fait? C’est dans la page: Mon Travail. Vous désirez avoir plus d’infos sur mes projets de réalisation et d’écriture? C’est dans: Mes Créations. Et pour les histoires perso, mes débuts et déboires, vous l’aurez deviné, il y à la page: Mon Parcours. Surtout n’hésitez pas à commenter!
J’ai réalisé un nouveau clip pour Sacha, cet étrange acolyte-alter ego qui me suit depuis des années dans un univers parallèle. Après son tube electro-pop Draped In A Dragon, l’apprenti-chanteur chante cette fois-ci la tristesse des poulets rôtis. Et pour ceci il est allé donner un mini-concert dans un poulailler dans le Sud-Ouest de l’Allemagne. Sacha a troqué sa tenue streetwear-baskets pour le costume, mais le rose reste toujours de mise.
Une petite voix me dit qu’il y aura bien un nouveau clip de Sacha, je l’espère dans pas trop longtemps. Ce que je sais, c’est que mon compère chelou revient toujours en force dès j’ose l’abandonner trop longtemps…
« Draped in a Dragon » est une comédie décalée au rythme effréné, dans laquelle Sacha, un apprenti-chanteur, enregistre sa première chanson d’amour. Enfin, « d’amour », pas tout à fait …
Selon Jeff, son ingé son, et Tina, la petite amie de Jeff, sa chanson est plutôt l’histoire des fantasmes inavoués de Sacha. S’ensuit un débat sans queue ni tête où tout tient, au fond, à la place du « D »… Est-ce Sacha, le chanteur, qui s’exprime mal, ou Jeff et Tina qui ont l’esprit tordu ?
Avec Scott Koehler, Natacha Krief, Jeremias Nussbaum, Jerry Di Giacomo, Jonathan Perrein
Le délégué syndical des pickpockets parisiens est en colère contre les grèves des transports à répétition :
« Si on voulait tuer une économie parallèle, on ne ferait pas autrement. Je rappelle qu’on vient tout juste de sortir de la période COVID, qui, avec ces confinements à répétition et l’absence des touristes a déjà fait souffrir le secteur. Contrairement à presque tous les corps de métiers, jamais nous n’avons eu droit à une aide de l’état, et à aucun moment nous nous en sommes plaints. Malgré les difficultés, on n’est pas resté les mains dans les poches, nous avons remis la main à la pâte et dans les sacs dès que possible. Et là, alors qu’on aperçoit enfin le bout du tunnel, on nous fait retomber. »
Les pickpockets inquiets pour leur retraite
« Est-ce qu’on fait grève, nous ? Non, on bosse. Est-ce qu’on a droit à une retraite à 64 ans ? Bien non. On en peut plus. Si on veut avoir une retraite, il faut qu’on bosse maintenant. Notre métier n’est pas reconnu comme métier pénible alors qu’il est très physique. Ce n’est pas possible d’ouvrir discrètement une fermeture éclair quand vous souffrez d’arthrose. Il faut aussi être en bonne forme physique, même si le risque de se faire courser par les flics diminue avec l’expérience. Ne nous empêchez pas de travailler! »
Le syndicat soutient les manifestations
Le syndicaliste dit pourtant soutenir les manifestations contre la réforme des retraites: « Tant que les personnes restent groupées pour qu’on puisse travailler, les manifestations, on est pour. Nous, on aurait préféré des manifestations de riches, mais malheureusement, ce sont plutôt les moins bien lotis qui semblent descendre dans la rue. On en a l’habitude. Dans les transports publics, c’est pas si différent. On fait avec. »
Le ministère se dit préoccupé par le sort des pickpockets
Du côté du ministère de l’Économie, on signale qu’on est en train de réfléchir à des solutions. « Si les grèves des transports perdurent, on exclut rien. Des aides, des programmes de substitution, on ne s’interdit rien », dit le porte-parole du ministre. « On pourrait envoyer quelques faux touristes dans le métro, avec des billets, des appareils photo et des smartphones bien visibles dans des sacs ouverts. Nous savons bien que Paris sans pickpockets, c’est tout simplement pas Paris. On ne laissera pas tomber un secteur qui fait partie de la renommée internationale de notre belle capitale ! »
Espérons que les professionnels du vol à la tire pourront tirer leur épingle du jeu et qu’ils ne resteront pas sur les carreaux blancs du métro. C’est tout un héritage parisien qui risque de disparaître. Déjà qu’il y a de moins en moins de bouquinistes.