Comment sauver le littoral français ? Voici notre proposition d’action innovante pour sauver la France de la montée des eaux et pour empêcher la perte des côtes françaises tout en recyclant les parties inhabitables du Sud de l’Europe.
Au même moment que nos belles côtes françaises se voient menacés par la montée du niveau de mer, la péninsule ibérique (Wikipédia) devient peu à peu inhabitable à cause des températures de plus en plus élevées. Que faire ? Peut-on trouver une solution unique pour ces deux problèmes ? Nous proposons de découper la France juste en dessous des Pyrénées et de la surélever à l’aide d’un système de pistons hydrauliques. Ensuite il suffit de déplacer l’Espagne et le Portugal sous la France et, une fois la péninsule tractée au Nord et glissée sous l’hexagone, de poser la France dessus.
Le Portugal dépassera surement un peu sous la côte Atlantique et offrira une nouvelle ligne de côte au sud-ouest de la France, ce qui rafraichira son aspect un peu vieillot et nous l’espérons, l’intérêt pour notre beau pays. Ceci bénéficiera au secteur touristique français et ainsi à l’économie. La côte du Sud-Ouest récupéra les belles vagues de Nazaré, idéal pour les surfeurs français férus de grandes vagues. On gagnera en hauteur et l’Espagne et le Portugal s’offriront une seconde vie en tant que fondation de la France.
Une France plus grande
La péninsule ibérique, avec sa surface de 583 254 km2, dépasse la taille de la France de 40 000 km2 environ. En glissant l’Ibérie sous le Hexagone, on gagne l’équivalent d’une région de la taille du Centre-Val de Loire. Largement de quoi loger les populations espagnoles et portugaises déplacées. Ces populations auront, grâce au chantier titanesque du déplacement qui nécessitera énormément de main d’œuvre, un travail dès leur arrivée en France. L’économie européenne profitera du chantier presque autant que pour le chantier collaboratif entre la France, l’Autriche, l’Italie, la Suisse et l’Allemagne (Voir: Comment et pourquoi il faut aplatir les Alpes).
L’ouverture de la Méditerranée vers l’Ouest
Un point positif non négligeable du déplacement de la péninsule ibérique sera l’ouverture de la Méditerranée vers l’Atlantique. Les îles Baléares seront évidemment bien plus exposées aux intempéries, mais nous avons déjà pensés des solutions à ce problème. Majorque devrait être déplacée dans la mer du Nord, plus proche de sa principale population allemande et anglaise. Minorque, Ibiza et les autres îles peuvent facilement être ignorés et nous proposons de ne plus les mentionner à partir de ce point.
Aux Corses et aux Sardes, l’exposition à un climat plus rude leur fera le plus grand bien et donnera enfin un peu de répondant à leur caractère bien trempé. Nous sommes certain·es que les populations se réjouiront d’avoir enfin un vrai océan à affronter.
Des bénéfices en plus
La libération des 583 254 km2 de la péninsule ibérique donnera aussi plus de place aux eaux des mers : 29162,7 km3 ou 5 832 540 baignoires, ce qui contribuera à limiter l’augmentation du niveau des mers. Et si ce genre de projet innovant sera repris par d’autres pays, le monde en sortira grandi et l’augmentation des mers sera diminuée d’autant.
Pour donner un exemple : les États-Unis pourraient être logés en dessous de la moitié sud du continent américain et perdraient que la moitié centrale de leur surface. Le gain de place pour les océans serait énorme. Les eaux monteront moins, l’augmentation de la température des océans sera diminuée, l’espace et la qualité de vie des maquereaux, thons, crevettes et baleines sera augmenté d’une manière significative (on doute que le plancton, très petit et plutôt simple d’esprit, se rendra compte de la différence) !
Ceci était une proposition de la Fédération des ingénieurs Européens agréés du piston hydraulique à charges lourdes. Le travail de recherche à été soutenu par la coopérative BTM (Bateaux Tracteurs Méditerranéens).